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 Run littles humains, run, you can't hide from the Snowdin's wraith [SOLO] [Gore]

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Chiller

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MessageSujet: Run littles humains, run, you can't hide from the Snowdin's wraith [SOLO] [Gore]   Run littles humains, run, you can't hide from the Snowdin's wraith [SOLO] [Gore] Icon_minitimeLun 28 Nov - 7:11

H-S:

Run littles humains, run, you can't hide from the Snowdin's wraith × ft. Chiller
Part 1



Le soleil se couchait derrière la montagne, tachant de cramoisie et d’orange les fins nuages flottant dans le ciel. Allongé au sommet, tu ne pouvais les quitter du regard. La fumée de ta cigarette montant dans l’air, ondulant comme une danseuse du ventre intangible, captait parfois ton attention. Chaque bouffer réchauffant ces poumons qui te manquaient. De toute façon, comment pouvais-tu fumer ? Parce que ta gueule, c’est magique. Tout ton corps en était fait. Tes os tenaient ensemble grâce à elle et non pas grâce à des muscles, des ligaments ou des tendons comme pour les humains. Rien pour te protéger.

Sauf ton bouclier.

Tu restas, immobile, à fixer le ciel s’assombrir, à regarder la nuit recouvrir la ville tel un cancer se propageant dans le corps de sa victime. Vile parasite mortel, vicieux et venimeux. Les couleurs vives et flamboyantes firent rapidement place à un mauve sombre, laissant les premières étoiles apparaitre. Naturellement, tu aperçus l’Étoile des Bergers. La plus brillante, celle qui guidait les marins. Puis les constellations, tu les énuméras au fur et à mesure que tu les voyais apparaître. Admiré l’étendu céleste nocturne t’apaisait, te forçait à ne plus avoir de mauvaises pensées, de mauvais souvenirs. Mais aussi, cela t’aidait à oublier la douleur qui commençait à se propager dans tes os.

Bientôt la douleur lancinante, brûlante, reviendrait en emmenant avec elle ses lots de souffrances intolérables. Résultats des expériences que l’on te fit, mais quel prix n’aurais-tu pas payé pour protéger l’Underground, pour empêcher un humain de revenir et de les tuer. Bien que cela n’avait pas été une réussite, malheureusement. Qu’y pouvais-tu ? Tu ne pouvais affronter l’humain à chaque fois qu’il se battait contre des monstres, car souvent la douleur tétanisait ton corps à tel point que tu ne savais user de ta magie.  

Une image, un horrible souvenir, revint à ton esprit. L’éclat de lumière sur la lame de plastique, le petit corps agile qui fonçait sur sa cible et le coup mortel tranchant le tissu blanc. Une gerbe rouge en sortant, suivit d’un gémissement de douleur. Un petit squelette, haletant, vaincu, mais partant, mourant, pour ne pas laisser l’humain le voir tomber en poussière. Mais toi, tu l’avais vu, sa poussière tombant au sol alors que tu arrivais derrière lui pour le rattraper, espérant que lui aussi ne mourraient pas, que tu ne serais pas le seul à rester debout.

Secouant la tête pour chasser le souvenir, alors que ta main droite se refermait sur un capuchon duveteux invisible, tu fermas un instant les yeux. Haletant, la cage thoracique montant et descendant fébrilement, tu pris de longues minutes avant de te calmer. Tu n’arrivais juste pas à passer un instant sans revoir ce genre de chose. Les images de massacres se juxtaposant aux éclats de rires joyeux glaçaient tes os, t’effrayaient, te dégoutaient. Tu sentis des larmes couler sur tes joues, ne fis rien pour les chasser, sachant pertinemment que rien ne les feraient arrêter tant que tu ne te calmerais pas complètement.

Ce qui arriva que près d’une heure plus tard, laissant ton corps squelettique tremblant. Loin d’être de froid, tes os tremblotaient sous les émotions, sous la colère et la haine. L’envie de massacrer la race humaine remontant à toi comme la lave expulsée d’un volcan. T’enveloppant dans ce vieil habit que tu avais fait toi-même – composé des habits de tes victimes – tu respiras son odeur. Malgré les temps passés en surface, il sentait toujours la forêt de Snowdin, seule odeur à parvenir à te rassurer, à te détendre. Rapidement, tes os cessèrent de s’entrechoquer, la douleur  régressant.

Des éclats de rires te parvinrent, faisant se tendre l’entièreté de ton corps. À l’ouïs, tu entendais les branches craquer, l’herbe givrée émettre un son de froissement caractéristique de la fin de l’automne et du début de l’hiver. Retenant ton souffle, tu écrasas ta cigarette, tuant par le fait même la faible lumière qu’elle diffusait. Te redressant lentement, tu laissas ton capuchon cacher ton visage. Hors de question que tu laisses des humains te voir hors de ton travail, surtout si ils étaient mal intentionné et qu’encore tu connaîtrais un black-out pour te réveiller avec des states augmentées, encore.

Sans faire le moindre bruit, tu t’approchas d’eux, laissant le bas de ton habit effacé tes pas. Tu l’avais conçu ainsi, assez long pour cacher entièrement ton corps, assez  lord en arrière pour effacer tes pas et ne laisser aucune marque. Celles qui se formeraient s’effaceraient face au vent et à la nouvelle chute de neige. Après avoir éliminé ces scientifiques dans une crise meurtrière, tu avais décidé qu’il serait mieux pour toi de protéger tes arrières ainsi. Parce que jamais tu ne te souvenais des massacres que tu faisais durant tes crises, alors il fallait éviter que l’on t’attrape pour une stupidité.

Tu arrivas rapidement à la hauteur des humains. La lumière d’une lampe de torche t’aveugla alors qu’un cri strident te brisa les tympans, malgré l’absence apparente d’oreille chez ta personne. Tu émis un grognement désapprobateur, fermant les yeux un instant pour éviter de finir aveugle. Bordel, pourquoi les humains devaient-ils absolument vous faire chier ? Un rire te parvint, et tu tendis l’oreille pour entendre ce que l’humain dirait.


- « Eh, c’est un monstre ! Une saloperie de monstre ! J’ai failli faire une crise cardiaque à cause d’un de ces rebuts des tréfonds de montagne ! »


Tu serras les mâchoires, cachant ton visage derrière un bras avant d’entrouvrir les yeux pour regarder qui parlaient. La lumière avait descendue, te permettant de distinguer six silhouettes, trois couples ? Que faisaient-ils ici ? Mais avant que tu ne puisses leur faire signe que tu ne leur ferais rien, celui qui avait parlé repris la parole.

- « Regardez bien les filles, je vais faire de la magie et le changer en poussière ! »

Tes os se tendirent à ces paroles et instinctivement tu modifias tes stats, échangeant ton attaque pour ta défense, augmentant par le fait même cette dernière. Tu invoquas ton bouclier au moment même où l’humain te fonçait dessus pour te poignarder. Le tous, en trois seconde.

- « Imbécile d’humain. Ne sais-tu pas qu’il ne faut pas agresser les inconnus dans le noir ?   » susurras-tu d’une voix inquiétante en lui attrapant le poignet.

Depuis le temps, tu connaissais les zones de pression qui les faisaient plier, hurler. Merci à tes souvenirs inaltérables ! Tu enfonças la pointe de ton pouce dans la chair tendre de lumière, à l’endroit exacte de celui du poignet. Un cri franchit ses lèvres, mélange de surprise et de douleur.


De ton autre main, tu claquas des doigts, faisant apparaître un couteau de cuisine en os que tu attrapas par le manche. Dans un rire presque fou, tu l’abattis sur lui, plantant la lame dans sa tempe. Des cris stridents te firent frissonner joyeusement alors que ton regard fixait le corps prit de spams de ta première victime. Pauvre chose ridicule ! Du sang pulsait autour de la lame et lorsque tu la retiras, du le vis gicler en petites gerbes. Comme avec un abreuvoir dans un parc ! L’image te fit sourire et tu levas les yeux.

Les mâles restant s’étaient positionnés devant les femelles, voulant sans doute jouer les gros durs. Un rire moqueur franchit ta bouche osseuse. Usant de ta magie, tu la fis prendre forme d’une langue rouge et du bout tu léchas le sang resté sur l’os de ton arme. Il avait un goût métallique, te rappelant ce que les scientifiques te mettaient dans la bouche pour empêcher tes cris de les perturber. Faisant disparaître ton couteau, tu claquas de nouveau des doigts, faisant apparaître d’autres armes derrières eux, invisibles dans la nuit. Refermant ta main en un poing serré, tu les fis s’abattre sur eux.

Or, l’un des mâles perçu le mouvement dans l’obscurité et permis aux autres d’éviter la mort, mais son corps fut transpercer par la plupart des armes. Il émit un son étrange, que tu n’aurais su caractériser. Ô que aimait ça, le voir au sol, sa femelle tentant de le relever alors que les trois autres fuyaient pour leur peau. Sans plus de cérémonie, tu fis apparaître dans tes mains une faux en os et d’un mouvement fluide et puissant – échangeant au passage ta défense et ton attaque – tu l’embrochas et d’un mouvement circulaire l’envoya valser contre arbre.

Tu entendis ses os se briser sous l’impact et le bruit mou de son corps touchant durement le sol. Tu les laissas se vider de leur sang après avoir fait disparaître de nouveau tes armes, gardant néanmoins ta faux. Tu fonças à la poursuite des autres, altérant encore tes states pour augmenter ta vitesse. Tu les rattrapas rapidement, t’amusant des cris des femelles. Tu te cachas dans la forêt, les poursuivit aussi silencieusement que possible au vu de l’état de la forêt. Au bout d’un moment, tu les vis s’arrêter, épuisés. Tu t’arrêtas, encore plein d’énergie. À quoi s’attendre d’autres d’un ancien Garde ? Que tu t’épuiserais face à des humains ? La blague !

Tournant autour d’eux tel un prédateur, tu attendais le bon moment pour les attaquer et il vint rapidement quand l’une des femelles cria avant de s’enfuir. Silencieusement, tu pris sa suite alors que les autres lui criaient de revenir. Lorsque vous fûtes assez loin, tu fis de nouveau apparaître des armes, des aiguilles d’os qui se plantèrent dans les articulations de ses genoux, l’empêchant ainsi de courir. Tu la regardas s’étaler au sol comme la merde qu’elle était. Tu rigolas avant de fredonner « The haunting » de Set it off.

- « Come on in boy, said the skeletons, setting by her closet door. Dirty secrets, empty memories and broken hearts across the floor. I was knocked out, heels overhead, so you dragged me by my feet to a ghost town where you buried me. No wonder no-ones heard my screams. »

Tu la regardais se trainer sur le sol, tentant de s’éloigner de toi le plus possible, d’échapper à ton approche. Naturellement, elle n’y parviendrait pas et tu brisas ses jambes, provoquant chez elle des fractures ouvertes avant que l’une d’elles ne perce une artère et ne la laisse morte, vidée de son sang.

Tu te cachas, laissant les deux survivants la trouver. La dernière femelle tomba à genoux, en larme alors que le mâle vomissait ses tripes. Tu en profitas pour clouer sa main à un arbre, puis l’autre pour l’immobiliser. Ses cris firent sursauter sa compagne que tu éventras d’une lame. Ses intestins étaient chauds contre les os de tes mains, te rappelant autre chose. Tu souris aux cris de son compagnon alors que tu la pendais à une branche avec ses propres boyaux.

Tu t’approchas du dernier humain, souriant, alors que les larmes coulaient sur ses joues. Toutes les armes disparues, sauf les couteaux dans ses mains et la faux réapparu dans les tiennes. La tenant d’une main, tu essuyas ses larmes.

- « Vous les humains, vous vous croyez tout permis uniquement à cause de votre pseudo intelligence et technologie. Vous en oubliez la gentillesse, l’acceptation de la différence. À quoi s’attendre d’autre d’une race violente et malsaine envers elle-même ? D’une race qui fait du mal à ses propres petits. Tututu, pas de larmes. Après tout, vous vouliez me changer en poussière hm ? Le Karma viendra chercher ses dettes, gamin. »

Avec cette dernière phrase, tu t’éloignas, levant ta faux et avant qu’il ne puisse crier ou dire quoi que ce soit, tu tranchas son corps en deux dans le sens horizontal. Le haut de son corps pendait, soutenu que par les couteaux, parcouru encore de quelques spams tout comme ses jambes. Ses organes pendirent et le sang s’écoulait librement. Tu restas là, le fixant jusqu’à ce qu’il soit entièrement mort avant de faire disparaître toutes tes armes. Tu n’avais plus l’habitude d’user d’autant de magie, mais par chance tu ne t’étais pas autant épuiser que tu ne l’aurais cru.

Laissant les cadavres où ils étaient, tu rentras chez toi sans être vu, sans laisser la moindre trace derrière toi. Tel le spectre que tu étais, personne ne saurait que tu aurais été présent sur ces lieux.

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Dernière édition par Chiller le Mer 30 Nov - 20:47, édité 1 fois
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